Citations de Abbé Pierre (courtes)

Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière.
Le plus grand échec c'est de ne pas avoir le courage d'oser.
Une mère aimante pardonne toujours à son enfant.
La responsabilité de chacun implique deux actes : vouloir savoir et oser dire.
On n'est jamais heureux que dans le bonheur qu'on donne. Donner, c'est recevoir.
L'injustice, ce n'est pas l'inégalité, c'est le non partage.
Le contraire de la misère ce n'est pas la richesse. Le contraire de la misère, c'est le partage.
Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant les chiffres.
Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien.
C'est quand chacun de nous attend que l'autre commence qu'il ne se passe rien.
La maladie la plus constante et la plus mortelle, mais aussi la plus méconnue de toute société, est l'indifférence.
Une civilisation se mesure à la qualité des objets de colère qu'elle propose à sa jeunesse.
Vivre, c'est apprendre à aimer.
La vie est plus belle que la prudence.
Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais il donne autant de lumière.
Le rôle de tout être humain, c'est de faire la preuve que le monde n'est pas sans raison.
Il faut que la voix des hommes sans voix empêche les puissants de dormir.
La sérénité, c'est l'acceptation de soi-même et de ce qui est.
Souviens-toi d'aimer !
L'amitié, c'est ce qui vient au coeur quant on fait ensemble des choses belles et difficiles.
L'indignation pourrait avoir beau jeu de nous donner bonne conscience. Pourtant, elle ne dispense pas de l'action.
L'amitié, c'est ce qui vient au coeur quand on fait ensemble des choses belles et difficiles.
Il y aura chaque hiver le "scandale des sans-logis" et chaque été la "violence des banlieues".
Quand tu n'en peux plus d'aimer, espère. Quand tu n'en peux plus d'espérer, crois.
Gouverner, c'est d'abord loger son peuple.
Le succès des armes, jamais, ne suffit à marquer la justice d'une cause.
L'espérance, c'est croire que la vie a un sens.
Quand on s'indigne, il convient de se demander si l'on est digne.
Les grandes villes du monde sont toutes affligées de deux plaies : le luxe excessif et la misère.
Nous avons autant besoin de raisons de vivre que de quoi vivre.
Le pouvoir est fait, non pour servir le pouvoir des heureux mais pour la délivrance de ceux qui souffrent injustement.
la vie, c'est apprendre à aimer.
Nous sommes tous hommes d'une seule et même Terre.
C'est la vie qui doit créer la loi. Et non pas la loi, figer la vie.
C'est tellement complexe un homme et, jusqu'au dernier instant, tellement inachevé !
La liberté des droits n'est qu'une perfidie et une moquerie quand les ventres sont vides.
Avoir souffert rend tellement plus perméable à la souffrance des autres.
Il y a peu d'hommes méchants, mais nous sommes insuffisamment intelligents et hardis, sans doute par manque d'amour.
Si l'on en fait un absolu, l'égalité est une absurdité puisqu'elle est radicalement étrangère à la nature.
Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant des chiffres.
C'est en ne faisant pas les révolutions avec le peuple qu'on provoque les émeutes que le peuple paie.
L'esprit ne peut être libre s'il n'est dégagé de l'angoisse de la faim.
Creuse en toi des appétits car c'est dans la mesure où tu sera insatisfait que tu trouveras satisfaction.
Avec tout l'argent du monde, on ne fait pas des hommes : on les dégrade.
Décider de tuer un être humain dont on s'est rendu maître, c'est toujours être vaincu.
L'absolu est le genre de sujet devant lequel il faudrait se taire.