Citations de Dominique Blondeau (courtes)

L'homme idéal à la recherche de la femme idéale : le meilleur moyen de rester célibataire !
Parce qu'elle vieillit plus vite, un homme ne devrait pas épouser une femme de son âge...
Dans l'offrande de soi-même, ne peut naître la réciprocité : on donne pour recevoir.
Le triomphe accompli dénature continuellement nos véritables sources de joie.
Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.
Le rire est un excès préférable à l'incertitude du silence. Il choque toujours les êtres très intelligents.
Le vrai bonheur des amants est construit sur des interdits.
Ressasser des souvenirs est un signe de vieillesse.
L'homme sage est celui des actes qu'il a accomplis et non celui des actes qu'il a rêvés.
L'aube. Un isolement entre la nuit et le jour.
La parfaite confiance moisit l'amour le plus tenace.
Il est défendu aux enfants de contrarier le monde créé par les adultes.
Les femmes n'ont pas besoin de rêves : le moment présent leur suffit.
Le temps lorsqu'il est employé dans ses moindres détails devient notre pire ennemi.
Le coeur est un voyeur lorsqu'il est épris.
Les hommes sont impossibles et pensent qu'ailleurs, leur vie est à recommencer. Ils rêvent constamment d'un paradis perdu.
On peut détruire le souvenir avec des mots, mais non la beauté de ce souvenir.
La simplicité décourage. Elle ne s'acquiert qu'à force de détachement.
Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Tout acte est révélation ou aveuglement selon nos dispositions psychiques.
La misère mène à la révolte ou à la soumission.
Il est tellement difficile de vivre avec l'être de son choix. Le temps use nos sentiments les plus aigus.
Les gens préfèrent s'accuser des pires défauts plutôt que de s'abstenir de leur présence.
L'être convoité nous fait aimer l'amour.
Le père n'existe pas : c'est l'homme qui dépend de son enfant mais jamais le contraire.
Qu'est-ce que l'amour ? - Les habitudes.
La pauvreté s'encombre rarement de principes et surtout de contingences.
Devant l'âge, ne sommes-nous pas tous des exilés ?
Il en est des races comme des tribus : elles ne se mélangent pas, elles se combattent jusqu'à l'extermination.
La mémoire rend les êtres et les lieux impalpables.
L'absence ne renoue pas des liens usés.
L'exactitude est un symptôme ignoré de l'enfance. L'éternité des jours à venir : son domaine.
Les rêves de jeunesse sont des rêves solitaires qui durent peu.
On craint l'intelligence de certains fous.
Une trop grande joie est épuisante.