Citations de Jacques Chirac (courtes)
On greffe de tout aujourd'hui, des reins, des bras, un coeur. Sauf les couilles. Par manque de donneur.
De toute façon, les merdes volent en escadrille.
Dans un environnement qui change, il n'y a pas de plus grand risque que de rester immobile.
Dans la vie il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas.
On ne fait pas avancer un âne qui chie.
Trop de jeunes se croient sans avenir, alors qu'ils sont sans objectif.
La mondialisation est un nouveau visage de l'aventure humaine.
Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre.
Il n'y a pas que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je l'ai toujours dit.
Le changement est la loi de la vie humaine, il ne faut pas en avoir peur.
Sarkozy, faut lui marcher dessus. Et du pied gauche, ça porte bonheur.
Il y a plus d'idées dans deux têtes que dans une.
J'ai changé de bière. Je suis passé de la Corona à la Kronenbourg 1664.
L'Etat républicain, c'est aussi la laïcité.
Le changement est d'abord un état d'esprit.
La politique, ça ne consiste pas à suivre le courant, mais à indiquer le cap.
La démocratie, c'est l'égalité des droits, mais la République, c'est l'égalité des chances.
Il ne faut pas blesser une bête : on la caresse ou on la tue.
La culture n'est pas une marchandise. Les peuples veulent échanger leurs biens mais ils veulent garder leur âme.
Les droits de l'homme ne valent que parce qu'ils sont universels.
Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière.
Prenons garde que notre esprit critique ne se transforme en esprit de dénigrement systématique...
Aucune civilisation n'a duré quand elle acceptait la fracture sociale des exclus.
La véritable démocratisation de l'école est celle qui donne à chaque enfant le maximum de chances.
Mobilité et stabilité ne sont pas antinomiques : un cycliste n'est stable sur sa bicyclette qu'en avançant.
Quand le peuple perd l'espoir, sa colère finit toujours par s'exprimer.
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent.
J'apprécie plus le pain, le pâté, le saucisson, que les limitations de vitesse.
Nous devons prendre conscience que le travail ne constitue plus, désormais, l'essentiel d'une vie.
Le Président de la République n'est pas un citoyen comme les autres dans notre pays, comme dans aucune démocratie.
Un chef, c'est fait pour cheffer.
Le désarmement suppose une transparence. Et les dictatures ne résistent pas longtemps à la transparence.
On fait les cadeaux avant les élections et on décide les impôts tout de suite après.
Les anniversaires ne valent que s'ils constituent des ponts jetés vers l'avenir.
Il faut voter avec son intelligence et non avec ses tripes.
La politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire.
Ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.
Je simplifie, mais il faut toujours simplifier les choses pour mieux les comprendre.
On ne peut pas laisser tout le monde vendre n'importe quoi au motif qu'il y a un profit.
Les coups bas ne servent à rien. Il faut convaincre et non s'amuser devant les médias.
Nos pires ennemis sont en nous-mêmes.
Faites attention, la statistique est toujours la troisième forme du mensonge.
L'Etat doit être un garant et non un gérant.
Le temps de l'enfance est court. Il ne se rattrape pas.
On attend tout de l'école, ce qui est le plus sûr moyen de ne rien obtenir d'elle.
Le contact humain est le véhicule essentiel de la démocratie.
Plus grosse est la ficelle, plus la machine fonctionne.
Le pouvoir ne se partage pas.
On n'exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé.
Les Français aiment la mer, mais ils la connaissent mal.
L'Etat est un rempart nécessaire pour éviter une culture uniformisée et soumise aux réalités économiques.
La montée des extrémismes, c'est toujours la sanction de l'inaction.
Notre maison brûle et nous regardons ailleurs.
Le rêve est une des dimensions essentielles de l'existence et la poésie permet ce rêve.
Le monde politique est une jungle.
Ma femme est un homme politique.
Dans une campagne, il faut aller chercher les électeurs avec les dents.
Une communauté se reconnaît dans les plus entreprenants et les plus inventifs d'entre les siens.
Les crises sont des choses qui arrivent régulièrement. Le grand avantage, c'est qu'en général on en sort renforcé.
A sotte question, point de réponse.
Vous êtes mon ami personnel. Vous êtes assuré de mon estime, de ma considération et de mon affection.
Il est des moments, rares, où l'Histoire est dans la main de quelques hommes.
Je suis un mangeur de pomme.
Mais qu'est ce qui lui arrive à la 2, il faut faire chauffer l'appareil ou quoi ?
Il y a, dans le peuple français, des trésors d'intelligence, de combativité et de vertu.
La préférence pour le présent et ses facilités a toujours un coût pour l'avenir.
La timidité est l'un des patrimoines de l'homme.
Lorsque j'engage un combat, il ne me vient pas à l'idée que je puisse le perdre.
J'ai quand même bien niqué les socialistes.
Je sais que j'ai la gueule de droite mais on ne peut pas se refaire.
On ne modifie pas la société par décret.
Pour un homme politique, le fait de trébucher est quelque chose de profondément humain.
La langue de bois est une de mes spécialités.
Les drames sans images, sans visages, ont peine à atteindre la conscience collective.
On ne peut pas être un homme d'Etat si l'on ne sait pas garder un certain équillibre.
Moi, je ne vois pas tout le temps la main de Mitterrand dans la culotte de ma soeur.
On ne peut pas mettre tout le monde à la porte sous peine de se retrouver seul.
La République ne transige pas quand l'âme même du peuple français est en question.
Rien ne peut justifier le développement de la pensée raciste.
Les moyens ne sont jamais adéquats quand le but est mal défini.
Le courage, c'est de ne pas avoir peur.
On gagne toujours quand on parie sur l'homme.
Finalement, chaque homme n'agit qu'en fonction de la satisfaction d'un désir.
L'espérance est un combat qui exige du coeur et de l'imagination.
J'ai toujours respecté les hommes qui se battaient pour d'autres idées que les miennes.
Les grands décisions ne peuvent être prises contre un peuple.
Le pessimisme ouvre la voie à tous les renoncements.
De Gaulle nous a quittés, mais nous n'avons pas quitté de Gaulle.
Aujourd'hui, on rapporte une histoire abracadabrantesque.
Toujours plus nombreux, les textes de loi sont aussi plus bavards, au risque d'en devenir inconsistants.
Rien ne se fait dans les sociétés de grand ou de durable autrement que porté par la foi.
Le Français est un critique par essence, c'est un de ses charmes...
Bientôt les bébés éprouvettes emprunteront les autoroutes de l'information !
Le peuple n'est pas un vain mot.
On ne trahit pas ce qui n'existe plus.
Me to go back to my plane.