Citations de Madeleine Ferron (courtes)

Ce n'est pas la victoire qui rend l'homme beau, c'est le combat.
Pour réussir il ne suffit pas de continuer, il faut toujours se dépasser.
Il est rare quand on ment que tout s'accorde : le regard, la voix et l'attitude.
L'expérience, c'est encore le meilleur enseignement.
Les hommes pratiquent le stress comme si c'était un sport.
Tout est facile dans la vie, il suffit d'être logique et de contrôler ses émotions.
La connaissance des êtres, l'étude de leur comportement est le commencement de la sagesse.
La chance, c'est l'outil dont rêvent les paresseux !
Une fois que c'est accepté, la mort, ça s'oublie vite. Et puis, c'est consolant.
L'amitié ne calcule pas... ou plutôt elle calcule bien. Même si elle le fait sans réfléchir.
Une générosité qui s'alimente d'ambition engendre la vigilance.
La vie peut être plaisante. Il suffit de s'en donner la peine !
Chacun a en lui son petit monstre à nourrir.
On juge une chemise à son col et un homme à sa chemise.
Plus un objet nous devient précieux, plus il nous semble fragile.
Faut pas laisser traîner une idée, on risque de la perdre.
Il faut peu de choses dans la vie, mais il importe qu'elles soit belles et bonnes.
La victoire donne aussi le privilège de s'apitoyer sur la victime.
Il n'y a rien de plus salutaire que la diversion, de plus tonifiant que le changement.
L'amour doit être lucide, autrement il fausse tout.
Remords. C'est une blessure qui ne guérit pas, un châtiment qui n'en finit jamais.
Il faut être masochiste pour vouloir gagner ce qui nous est donné.
Comme sa gamme est plus riche, le malheur nous attire plus que le bonheur.
La mode est la pire des prostituées.
On ne met pas impunément plusieurs coqs dans une même basse-cour.
Il en est des bêtes comme des hommes, on ne peut pas en aimer plusieurs.
On écrit que l'amour se cultive mais on oublie de dire qu'il se nourrit...
Un coq a beau gratter, ça ne donne rien si la poule ne ramasse pas.
Pour qu'un destin conserve sa grandeur et sa noblesse il faut avoir le choix d'y consentir.
Croire en l'au-delà, ça ne suffit pas. Il faut croire aussi en la vie.
L'amour engendre aussi la bonté.
L'austérité n'est acceptable qu'étayée par l'ambition.
L'austérité des gares, c'est comme une interdiction de voyager !
On ne prévoit que les dangers ordinaires. Les pires sont ceux dont on ne se méfie pas !
On se protège instinctivement. On ne voit et n'entend que ce qu'on peut supporter.
On se sent moins pauvre quand on est seul à le savoir.
La coquetterie est un défaut nécessaire.