Citations de Max Gallo (courtes)

Il n'est jamais trop tôt, il est toujours trop tard.
La Révolution française est un creuset dans lequel il y a toute l'histoire de France depuis ses origines.
Notre être est notre richesse. Et notre être, c'est d'abord la fierté nationale, celle de notre passé.
Il suffit de quelques jours, parfois de quelques heures, pour que la barbarie des comportements humains rejaillisse.
Un événement de l'ampleur de la Révolution Française n'est jamais terminé.
L'image est sans mémoire, elle produit un attrait qui dure le temps où elle est présente.
Les moyens de communication, l'instantanéité, rendent les frontières classiques et nationales obsolètes.
Le peuple français est toujours dans la posture de pouvoir renverser un gouvernement.
Nous sommes dans une société de l'image : celle-ci introduit l'immédiateté de l'événement.
Tout le discours politique est fondé sur cette opposition entre ventre creux et ventres dorés.
La globalisation provoque un besoin d'enracinement.
L'histoire est le seul laboratoire dont disposent les hommes pour comprendre le fonctionnement des sociétés.
Notre susceptibilité est révélatrice de notre volonté d'égalité.
La pression médiatique, associée à celle de l'opinion, rend l'exercice du pouvoir très compliqué.
Il y a du sacré en chaque homme.
Nous avons dans nos valeurs le refus de l'inégalité affichée.
Une de nos caractéristiques nationales est l'extrême susceptibilité à l'inégalité.
Un diplomate est un acteur. Il représente.
Etre historien, c'est être masochiste.
La vérité historique est que l'Europe est une création liée au catholicisme. En disant cela, on n'exclut personne.
Un des périls majeurs qui guettent nos sociétés contemporaines est l'irruption de la violence et des barbaries.
À mes yeux, chaque communauté historique a une identité différente et respectable qui doit être maintenue et défendue.
En examinant la Révolution, on découvre combien la sociabilité entre les hommes est extrêmement fragile.