Citations de Monique Larue (courtes)

Dans une langue seconde, les mots sont simplement plus éloignés de la réalité que dans la langue maternelle.
Rien n'est plus dangereux qu'un homme stupide.
La guerre est absolument nécessaire pour maintenir l'agressivité naturelle de l'espèce humaine.
Le réel, ça finit toujours par revenir.
L'amour est un mot qu'il faut se garder de prononcer. Ce qui compte, c'est la réalité.
La vie ne cesse pas après les ruptures, le fil du temps ne casse pas.
Notre vie se joue en un instant. Ensuite, on se rappelle cet instant...
Plus on va vers le futur, plus l'oubli fonctionne vite.
Le temps des utopies ne dure jamais longtemps.
Le délire est un enfant qui exagère.
Notre vie ne nous suffit pas, le secret de celle des autres nous taraude.
S'habituer c'est se tuer.
Quelle que soit la langue, il y a des mots qu'on cherche toute sa vie.