Citations de Salvador Dali (courtes)

Ne craignez pas d'atteindre la perfection, vous n'y arriverez jamais.
La jalousie des autres peintres a toujours été le thermomètre de mon succès.
Qui sait déguster ne boit plus jamais de vin mais goûte des secrets.
L'unique différence entre un fou et moi, c'est que moi je ne suis pas fou.
La peinture est la face visible de l'iceberg de ma pensée.
La révolution russe, c'est la révolution française qui arrive en retard, à cause du froid.
Les erreurs ont presque toujours un caractère sacré. N'essaye jamais de les corriger.
Il vaut mieux péter pour tuer le temps, que de médire, de faire des libelles ou de mauvais vers.
Aucun désir n'est coupable, il y a faute uniquement dans leur refoulement.
Il y a des jours où je pense que je vais mourir d'une overdose d'autosatisfaction.
L'amour, ça commence par la tête, et ça finit par trois petites gouttes dans le tuyau du pipi.
Je considère l'amour comme l'unique attitude digne de la vie de l'homme.
La critique est une chose sublime. Elle est digne seulement des génies.
Tout influe sur moi, rien ne me change.
Ce soir, pour la première fois depuis au moins un an, je regarde le ciel étoilé. Je le trouve petit.
Le surréalisme, c'est moi.
Je peux vous prouver que je suis susceptible d'accepter cinquante mille dollars tout de suite, sans broncher.
Pas de chef-d'oeuvre dans la paresse !
Il y a toujours un moment dans leur vie où les gens s'aperçoivent qu'ils m'adorent.
La nature aime se cacher.
Les grands artistes sont tous des impuissants.
Les bals les plus réussis sont ceux dont on parle le plus sans y être allé.
Le snobisme consiste à pouvoir se placer toujours dans les endroits où les autres n'ont pas accès.
Le moins que l'on puisse demander à une sculpture, c'est qu'elle ne bouge pas.
Ne craignez pas la perfection, vous n'y parviendrez jamais.
Les sanglantes osmoses du rêve et de l'amour occupent entièrement la vie de l'homme.
J'ai assis la laideur sur mes genoux et je m'en suis presque aussitôt fatigué.
Je suis pratiquant, mais pas croyant.
L'activité paranoïaque critique est une force organisatrice et productrice de hasard objectif.
J'ai horreur des mouches sales. Je n'aime que les mouches proprissimes.
L'unique chose dont le monde n'aura jamais assez est l'exagération.
Ma vie entière a été déterminée par deux idées antagoniques : le sommet et le fond.
Lorsque les trains déraillent, ce qui me fait de la peine, ce sont les morts de première classe.
La beauté sera comestible ou ne sera pas.