Citations de Simon Bolivar (courtes)

Un peuple qui aime la liberté finira par être libre.
L'art de la victoire s'apprend dans la défaite.
Celui qui sert une révolution laboure la mer.
Un peuple ignorant est l'instrument aveugle de sa propre destruction.
Dieu accorde la victoire à la persévérance.
Le premier devoir d'un gouvernement est d'éduquer le peuple.
L'ignorance dans laquelle les gens vivent les conduit à commettre des erreurs contre leur propre bonheur.
La liberté est le seul but qui vaille le sacrifice de la vie des hommes.
Quand la tyrannie devient loi, la rébellion est un droit.
Si la Nature est contre nous, nous combattrons la Nature et la ferons obéir.
Pour atteindre le succès, il a toujours été nécessaire de passer par la voie du sacrifice.
Il est plus difficile de maintenir l'équilibre de la liberté que de supporter le poids de la tyrannie.
Parmi les choses les plus sûres, la plus sûre est de douter.
Tous les peuples du monde qui ont combattu pour la liberté ont finalement éteint leurs tyrans.
Dans l'unité de nos nations repose l'avenir glorieux de nos peuples.
Les États-Unis semblent être destinés par la providence à affliger l'Amérique de misère au nom de la liberté
Notre haine ne connaît pas de limites, et la guerre sera à mort.
N'adoptez pas le meilleur système de gouvernement, mais celui qui a le plus de chances de réussir.
Fuyez le pays où un homme seul détient tout le pouvoir : C'est une nation d'esclaves.
Pour faire quelque chose de bien, il faut le faire deux fois. La première fois instruit la seconde.
La liberté du Nouveau Monde est l'espoir de l'Univers.
Il est plus difficile de libérer une nation de la servitude que d'asservir une nation libre.
L'esclavage est le produit des ténèbres.
La guerre vit du despotisme et n'est pas menée avec l'amour de Dieu.
Un État trop cher en lui-même, ou du fait de ses dépendances, finit par tomber en décadence.
Celui qui sert une révolution laboure une mer.
Les législateurs auraient bien besoin d'une école de morale.
La démocratie républicaine est trop parfaite et exige des vertus et des talents politiques bien supérieurs aux nôtres.
La morale et les lumières sont nos premières nécessités.